Auteur : Mathieu
Une première version de remorque de vélo (Peugeot NS 550)
Observation d’une blennie (Anse de Paulilles, 2021)
Je l’ai surprise, enroulée dans la coquille d’oursin. J’ai posé la camera à proximité et attendu quelques secondes. Je ne m’attendais pas à ce comportement territorial. Je n’ai pas fait durer.
Une lampe en orme… ou savoir accommoder les restes
Un arbre à bijoux
Deux tables de nuit, métal et châtaigner
L’idée initiale était d’avoir un résultat aérien, suspendu… La structure est en fer plat de 6 mm d’épaisseur su 40 de large. Les tablettes en châtaigner et on été simplement cirées (non visible ci-dessous).
Des petites choses que je ferai différemment quand je devrai en refaire mais globalement satisfait de cette idée et de sa réalisation.
Tables gigognes, la suite…
Le travail de forge a démarré à l’automne et devrait se terminer sous peu. Le piétement des tables est réalisé en métal dans du carré de 16mm.
Poursuite du travail entamé l’été dernier à la menuiserie (présenté ici ).
J’ai réalisé un gabarit avec deux angles d’arc correspondants au diamètre des deux tables. Le gabarit est fixé sur l’enclume.
La gabarit constitué de ronds soudés sur une tôle. une araignée à passé une partie de l’hiver dans ce gabarit, sous le tablier de cuir 😉
y’a plus qu’à…
Faire un cercle n’a pas été si compliqué finalement, mais le réaliser dans un plan ne fut pas si simple ! Chouette expérience.
Les éléments constitutifs de la petite table sont prêts. Il reste à faire les soudures. Et les éléments de la grande table.
Le gabarit et les cales Chauffe de la barre de 16mm de section (2,80 m) utilisation du gabarit Une idée de la taille relative des deux tables.
La petite table en situation 🙂
L’atelier se modernise
Une cheminée nous permet maintenant de forger correctement, sans nous intoxiquer. Et une cuve de 1000 litres va collecter l’eau de pluie.
Un été à la MCo : réalisation de deux tables gigognes
Un nouveau manche pour la serpette forgée quelques années plus tôt.
Dans sa première version, le manche de cette serpette forgée dans une lime en 2016 était en arbousier, sans virole.
Avec l’usage et le temps il a fendu.
J’ai repris sa serpette à Sandrine, pour d’une part, l’affûter, et d’autre part refaire ce manche.
Peu disponible ces derniers mois, j’ai profité d’un passage éclair dimanche matin à l’atelier pour refaire un manche.
J’ai réalisé la virole dans du tube carré que j’ai arrondi sur la pointe de la bigorne ronde de mon enclume.
D’un coup de marteau, j’ai fait l’empreinte de la virole sur le morceau de bruyère arborescente que j’allais utiliser pour le manche (une branche, pas une racine).
J’ai ensuite réalisé la forme à la râpe, fais un trou en pointe pour accueillir la soie de la lame, passé la virole légèrement en force, comme la lame.
Le résultat est satisfaisant, si l’on fait abstraction de la finition : jour entre la virole et le bas du manche, cylindre de la virole irrégulier, section du manche coté lame non poncée…
Mais je reprendrai ce travail après la récolte, au calme.
La bruyère est un très beau bois. On verra dans le temps comment il évolue à l’usage mais c’est trés joli et agréable à travailler.
Finalement j’ai recommencé le travail 🙂 Et j’ai bien fait. Toujours de la bruyère mais un manche plus long, doté d’un trou pour passer un lacet.